Yannick Ferrera refuse de se morfondre sur la perte du meilleur buteur du club.
Après Westerlo la semaine dernière, le Standard affrontera ce soir une autre équipe qui lui a pris six points la saison dernière, faisant très mal au décompte final pour les PO1. “Cela peut paraître stupide mais la semaine dernière, on a pris un point alors qu’on avait perdu lors du dernier exercice”, lance Yannick Ferrera. “Même si le contenu n’était pas toujours bon, on peut ressortir de ce match avec un sentiment positif; celui de ne pas avoir perdu.”
Saint-Trond, cela semble désormais être de l’histoire ancienne pour le coach du Standard. “Je dirai bonjour à certaines personnes avant et après le match. Pour le reste, il n’y a plus beaucoup de joueurs de mon époque si ce n’est Dutoit ou encore Kotysch.”
La semaine dernière, le T1 précisait qu’il souhaitait voir son noyau réduit. Lorsqu’on lui demande s’il est désormais satisfait que cela soit le cas avec les mises à l’écart d’Emond, de Yattara ou encore d’Öztürk, le coach rétorque, sur la défensive : “Je ne parlerai que du match de Saint-Trond car quand je parle d’autre chose, cela me retombe sur la figure.”
Au moment d’évoquer le départ d’Ivan Santini, le son de cloche était similaire. “Ivan est parti, cela ne sert à rien de pleurer. Il faut avancer. Notre ligne d’attaque actuelle est jeune mais talentueuse. À nous, staff, de mettre ces joueurs dans les meilleures conditions possibles et à eux de montrer qu’ils sont présents. À nous de leur donner les moyens d’exploser. Sera-ce le cas ou non, est-ce que cela sera éphémère, nous verrons.”
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