Dans un match accroché et très difficile, le Standard est parvenu à arracher, in extremis, le point de l’espoir, contre le Panathinaïkos, à Sclessin. Le bourreau du Standard se nomme Victor Ibarbo. En moins de 40 minutes, et grâce à un doublé (12e, 36e), le n°8 du Pana a mis le Standard au tapis. Avant que Edmilson Junior, sur penalty, ne rende espoir à ses partenaires, juste avant la pause (45e+1). Suffisant pour se relancer. Et en toute fin de rencontre (82e), c’est Belfodil, d’un coup-franc très puissant, qui a remis les pendules à l’heure. Une égalisation méritée pour les Rouches. Et qui permet encore au Standard de croire en son rêve européen. Mais il faudra être plus appliqué et plus réaliste pour prendre des points sur la scène européenne.
1. Un début de match catastrophique
Si le Standard a assuré l’essentiel, les Liégeois auraient pu vivre une soirée cauchemardesque. De petites erreurs ont coûté très cher aux Rouches en première mi-temps. En 40 minutes, le Panathinaïkos avait profité de ses deux uniques occasions de la rencontre pour enfoncer le clou. Pertes de balle, absence de marquage, errements défensifs… Le type d’erreurs qu’il faut à tout prix éviter. En particulier en Europa League. Heureusement pour eux, les Rouches ont trouvé les ressources pour revenir dans la rencontre.
2. Une passe difficile pour les Liégeois
Des défaites à l’Ajax et contre Anderlecht, des matchs nuls contre le Pana et Courtrai, le Standard vit sa première période compliquée de l’ère Jankovic. Pourtant, les Liégeois n’ont pas à rougir de leur prestation ce soir. Comme ce fut déjà le cas contre le Celta Vigo et à l’Ajax, les Rouches ont fait preuve de beaucoup d’abnégation. Ils ont joué au football, ils ont dominé, et ça a fini par payer. Même si le résultat n’est pas celui escompté au coup d’envoi.
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